L’empreinte revisitée suppose des couches successives, des changements d’état du support comme si à chaque vague, à chaque mouvement de la mer, le cinéma gravait sur la pellicule la lecture de la trace du corps qui fut là un instant et n’a laissé qu’une empreinte, fluide à la fois par les effacements et les mouvements répétitifs mais aussi figée dans différentes matières l’interprétant.
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