Film | Etats-Unis | 00:03:57 | 2023 |
Split and Merge Pixels Bit by Bit / Wheat Field with Cypresses Ver3
Artist Kenji Kojima believes that NFT Art is not art, but a financial product. Let digital art multiply infinitely. This video can be shared for free. You can donate any amount to the artist if you approve of this video as art. Even if you disapprove, you can keep it. But it has no artistic value, as you have decided. To overflow with the limit of the desire to own a work of art. However, the individual appreciates art as art, and art does not exist just by possessing it.
Kenji Kojima envisions the binary as the fundamental material for its construction, eschewing the collection of banal art forms in AI. What artists can do now is not to collect past data with AI, but to create data that AI cannot collect. One of them is to make binaries the most fundamental art material. To this day, all forms of media are expressed in the binaries. He thought about the possibility of exchanging or transforming their data into alternative forms. When we represent these media in digital works, we inevitably return to the realm of binaries. Kenji Kojima visited the Metropolitan Museum of Art in New York this summer and came across the inspiration.
This project explores the manipulation of pixel colors. Given a very large number of pixels in an image, the artist opted to convert the image into a mosaic format for ease in the production process. The resulting mosaic of colored squares may recall an aesthetic similar to Gerhard Richter’s « Series of Color Chart » paintings from the early 1970s and others. Their concepts were inspired by mixed physical tube colors. This project, however, draws inspiration from Georges Seurat, the French Post-Impressionist painter who sought to engage the viewer’s eye by optically blending colors. Following Seurat’s idea, this project merges two binary color elements into a digital color blend.
This project focuses on manipulating the colors of binary data, the primary digital material conducted by bitwise operations. The project’s algorithm, which uses bitwise XOR operations with random numbers, splits the original image data into two mosaics using an encryption technique known as a one-time pad. Kojima, an artist, is based on the idea that the outside world is like a code and that human senses decipher and feel it. Conceptually, the resulting pair of mosaic images can be compared to a cipher and a key. Each mosaic image contains half of the visual information present in the original image. The project video shows first the merging of the two mosaic data sets back into the original image, and then the splitting of the original image. It also uses Kenji Kojima’s RGB Music method to convert pixel color values into music.
Kenji Kojima estime que NFT Art n’est pas de l’art mais un produit financier et invite à laisser l’art numérique se multiplier à l’infini, ainsi son film peut-il se partager gratuitement. Il commente: Vous pouvez faire un don à l’artiste si vous considérez cette vidéo comme de l’art. Et même si vous la désapprouvez, vous pouvez la garder et elle n’a dès lors, aucune valeur artistique, comme vous l’avez décidé. Déborder à la limite du désir de posséder une œuvre d’art. Cependant, l’on apprécie l’art en tant qu’art et l’art n’existe pas seulement par sa possession.
Kenji Kojima envisage le binaire comme le matériau fondamental de sa construction, évitant la collection de formes d’art banales dans l’IA. Désormais les artistes n’ont pas à collecter les données du passé avec l’IA, mais à créer des données que l’IA ne peut pas collecter. L’une d’entre elles consiste à faire des binaires le matériau artistique le plus fondamental. À ce jour, toutes les formes de médias sont exprimées dans les binaires. Kojima a réfléchi à échanger ou à transformer leurs données sous d’autres formes. Lorsque nous impliquons ces médias dans des œuvres numériques, nous revenons inévitablement au domaine des binaires. Et lors de sa visite, cet été, au Metropolitan Museum of Art de New York Kojima a trouvé son dernier sujet..
Son projet explore la manipulation des couleurs des pixels. Sachant le très grand nombre de pixels d’une image, Il a converti l’image en mosaïque pour faciliter le processus de production. La mosaïque de carrés colorés résultante se fait écho à l’esthétique des Series of Color Chart de Gerhard Richter du début des années 1970 et à d’autres. Le concept se souvient des couleurs mixtes des tubes physiques. Par ailleurs, il se souvient de Seurat, qui mêlait optiquement les couleurs; en effet, son projet fait de deux éléments de couleurs binaire, la réunion de couleurs numériques.
Ce projet se concentre, ainsi, sur la manipulation des couleurs des données binaires, le principal matériau numérique des opérations bit à bit. L’algorithme du projet, par des opérations XOR par bit avec des nombres aléatoires, divise les données de l’image originelle en deux mosaïques grâce à la technique de cryptage “one-time pad ». Kojima crée en pensant que le monde extérieur est comme un code et que les sens humains le déchiffrent et le ressentent. Sur le plan conceptuel, la paire d’images mosaïques qui en résulte s’apparente à un code et à une clé. Chaque image mosaïque retient la moitié des informations visuelles de l’image originelle.
Split and Merge Pixels Bit by Bit / Wheat Field with Cypresses Ver3 part de la fusion des deux ensembles de données de la mosaïque du tableau cuté par son titre, avant de diviser cette image. Kojima a recours à sa propre méthode RGB Music Kojima pour convertir les valeurs de couleur des pixels en musique.