Parched, 2024, Installation (NL) : Imagine the opening scene of a detective story. A camera glides through the landscape, past broken branches and dried-out leaves. It’s clear that something has happened in this forest. The detective appears, searching for clues. But where is the victim? And is the detective truly innocent?
Marijn Dijkmeijer (1995) drew inspiration for Parched, a video about the murder of a landscape, from an essay by Timothy Morton. In this essay, the philosopher compares ecological awareness—thinking about the consequences of our behaviour on the environment and climate—to film noir. In this genre, the detective is often not an innocent outsider but intricately involved in the case through shadowy means. With this in mind, Dijkmeijer invites the viewer to reflect on concepts such as guilt, shame, perpetrator, and victim in the relationship between humans and nature.
Imaginez la scène d’ouverture d’un roman policier. Une caméra glisse dans le paysage, longeant des branches cassées et des feuilles desséchées. Il est clair que quelque chose s’est passé dans cette forêt. Le détective apparaît, à la recherche d’indices. Mais où est la victime ? Et le détective est-il vraiment innocent ?
Marijn Dijkmeijer (1995) s’est inspiré d’un essai de Timothy Morton pour réaliser Parched, une vidéo sur le meurtre d’un paysage. Dans cet essai, le philosophe compare la conscience écologique – la réflexion sur les conséquences de notre comportement sur l’environnement et le climat – au film noir. Dans ce genre, le détective n’est souvent pas un étranger innocent, mais il est impliqué dans l’affaire par des moyens obscurs. Dans cette optique, Dijkmeijer invite le spectateur à réfléchir à des concepts tels que la culpabilité, la honte, l’auteur et la victime dans la relation entre l’homme et la nature.