Ossature (2), de cette performance entamée en août 2017 à Lisbonne et s’achevant en 2018, le film garde la simplicité et le dénuement au cœur d’une série de manipulations qui se déploient dans un grand ralenti.
Un gros bonhomme blanchâtre, constitué de plusieurs tissus vaporeux et de papiers, gît sur une table. En short et camisole blanche, comme prête à soulever des altères, je manie, modèle et palpe la matière afin de me fondre en elle et être son double.

