Vidéo | 04:10 | France
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Quand le monde va trop vite, l’électricité participe à cette accélération.
Des corps avancent dans la même direction, sans indices de leur destination.
Les corps s’accélèrent, s’essoufflent jusqu’à leur disparition. Le son de l’arc électrique rythme les différentes cadences de ces corps anonymes. La plupart marchent nus ou en simple slip, afin de ne pas signifier de profession, puisque nous sommes tous concerné par cette accélération « électrique », cette accélération qui correspond à une demande « virtuelle »/numérique.
Le mot FARE revient en Off comme une obsession, un mantra.
Le son doit être un peu fort.