In a Space where Shadows play hide-and-seek, 2024, 6 min 15, Film (DE) : Barnett Newman’s painting Vir Heroicus Sublimis serves as a starting point for the narrative In a Space where Shadows play hide-and-seek. This artwork, created in 1950-51, is emblematic of Newman’s exploration of existential themes and the human experience through abstract expressionism.
Vir Heroicus Sublimis, which translates to « Man, Heroic and Sublime », features a vast expanse of vibrant red, punctuated by vertical lines that evoke a sense of both grandeur and intimacy. The sheer scale of the painting invites viewers to engage with it on a physical level, creating an immersive experience that transcends mere observation. This interaction can be likened to the way we navigate our own lives constantly moving through spaces filled with emotional and psychological shadows.
In In a Space where Shadows play hide-and-seek, the narrative draws inspiration from the emotional weight and philosophical inquiries embedded in Newman’s work. The story explore themes of identity, isolation, and the search for meaning in a world that often feels overwhelming. Just as Newman’s painting challenges viewers to confront their own perceptions and emotions, the narrative encourages characters to delve into their inner landscapes. The interplay of light and shadow symbolizes the duality of human existence – the moments of clarity juxtaposed with those of confusion or despair. Characters find themselves navigating through their personal « spaces » where shadows represent fears, regrets, or unfulfilled desires. The act of playing hide-and-seek with these shadows becomes a metaphor for self-discovery and acceptance. »
Le tableau Vir Heroicus Sublimais de Barnett Newman est le point de départ de In a Space where Shadows play hide-and-seek. Cette œuvre, de 1950-51, est emblématique de l’exploration par Newman des thèmes existentiels et de l’expérience humaine à travers l’expressionnisme abstrait. Vir Heroicus Sublimis, traduisible comme « L’homme, héroïque et sublime », ouvre une vaste étendue de rouge vif, ponctuée de lignes verticales évoquant un sentiment à la fois de grandeur et d’intimité. L’échelle même du tableau induit à s’y engager sur le plan physique, en une expérience immersive qui dépasse la simple observation. Cette interaction est à rapprocher de la manière dont nous naviguons dans nos propres vies en nous déplaçant constamment dans des espaces emplis d’ombres émotionnelles et psychologiques.
In a Space where Shadows play hide-and-seek s’inspire du poids émotionnel et des questions philosophiques inhérents à l’œuvre de Newman. L’histoire interroge les thèmes de l’identité, de l’isolement et de la recherche de sens dans un monde souvent perçu comme accablant. Tout comme la peinture de Newman place les spectateurs au défi de confronter leurs propres perceptions et émotions, le récit encourage à se plonger dans leurs paysages intérieurs. L’interaction de la lumière et de l’ombre symbolise la dualité de l’existence humaine – les moments de clarté juxtaposés à ceux de confusion ou de désespoir. Les figures se retrouvent à naviguer dans leurs « espaces » personnels où les ombres portent les peurs, les regrets ou les désirs inassouvis. L’acte de jouer à cache-cache avec ces ombres devient une métaphore de la découverte et de l’acceptation de soi.